L'étude réalisée vise à déterminer si les objectifs poursuivis lors de la mise en place d’une classe inversée (réduction de l’ennui des élèves, amélioration des résultats, augmentation de l’autonomie des élèves,...) sont-atteints et dans quelle mesure.
Au travers de quatre questionnaires, c’est plus de 600 élèves et 60 professeurs de lycée et de collège qui ont pu être sondés avec une méthodologie universitaire.
Des analyses croisées et une vingtaine d’entretiens ont permis d’établir un bilan sur la pratique de la classe inversée en physique-chimie et de tester les les hypothèses suivantes :
- Un fonctionnement en “classe inversée” facilite la mise œuvre d’une différenciation pédagogique.
- La pratique de la “classe inversée” est un vecteur de motivation pour les apprenants et les enseignants.
- La pratique régulière de la classe inversée permet de renforcer le sentiment d’efficacité personnelle des élèves.
- La pratique régulière de la classe inversée permet de renforcer l’autonomie des élèves.
Les résultats sont disponibles de façon résumée sur l'infographie suivante ou dans leur intégralité dans un document disponible en fin de page.
Intégralité de l'étude
Au sommaire:
La classe inversée : Une tentative de définition. p 3
Balisage de l’étude : Quelles sont nos hypothèses de travail ? p 3
Méthodologie : En trois temps. p 4
Périmètres des enquêtes : Quels sont les contours de cette étude ? p 7
Quelques résultats significatifs des enquêtes : p 9
Analyses croisées des enquêtes : p 13
Quels sont les freins à l’efficacité du travail ?
Qui sont les 2/3 d’élèves qui préfèrent continuer à travailler en classe inversée ?
Existe-t-il une corrélation entre la fréquence de la pratique de la classe inversée et une préférence des élèves pour ce mode de travail ?
Quelques extraits des entretiens p 14
Les Bilans
Quels sont les modes de fonctionnement des classes inversées ? p 18
La phase de diagnostic déplacée, pour redonner de l’importance à l’erreur. p 18
Où se trouve la plus-value de la classe inversée pour les enseignants ? p 19
La classe inversée, permet-elle une ouverture vers plus de différenciation ? p 19
Les outils de la classe inversée pour accompagner l’autonomie. p 20
La classe inversée est-elle un vecteur de motivation chez les élèves ? p 20
Les élèves travaillent-ils plus ? p 21
Les élèves travaillent-ils mieux ? p 21
Les élèves sont-ils plus autonomes grâce à la classe inversée ? p 22
La consultation des ressources pose-t-elle des problèmes ? p 22
Les limites de la classe inversée. p 22
Autres effets... p 23
Nos conclusions p 24
Limites de l’étude et freins p 26
Annexes p 26
Définitions p 26
Ressources p 27
Remerciements p 28
Groupe TraAM 2016-2017:
EXCOFFON Evelyne. (IPR référent)
VOSSIER Nicolas, Lycée des métiers de l'automobile LPO H. Laurens, SAINT-VALLIER (Référent TraAM):
BESSET Rémy, Collège Edmond Rostand, LA RAVOIRE (Interlocuteur Académique pour le Numérique)
BAUDIN Pascale, Collège Joseph Fontanet, FRONTENEX
CHAPUYS Helen, Collège Les Rives du Léman, EVIAN-LES-BAINS
CLARET Aude, Lycée polyvalent Hector Berlioz, LA COTE-SAINT-ANDRE
DARNE Raphaëlle, Lycée de L'Edit, ROUSSILLON
JACQUIER ROUX Dimitri, Collège Claude et Germain Grange, SEYSSUEL
LAPOUGE Vincent, Lycée général Champollion, GRENOBLE
MANTEGAZZA Natacha, collège Barnave, SAINT EGREVE
MOREAU Carole, Lycée général et technologique du Granier, LA RAVAOIRE
PARMENTIER Anne-Laure, Lycée polyvalent du Grésivaudan, MEYLAN
TAVIOT Rachel, Lycée général Camille Vernet, VALENCE
VOLK Audrey , collège Le Revard, GRESY SUR AIX
Avec l'aimable participation et l'aide précieuse de:
PETIT Lucile, Master 2 Education et Formation, Parcours Recherche – Université Paris Descartes